
Ce texte n’est pas un projet de Contrat Social. Ce n’est qu’une réflexion sur ce sujet qui mériterait d’ailleurs plusieurs approches différentes. Je présente ici la mienne. Elle part du rappel de l’idée de contrat social, exprimée par J.-J. Rousseau dont j’examine la difficile application de certains principes.
Je développe ensuite les difficultés, de la réalisation du contrat pour l’édification d’une République sociale, en m’appuyant sur l’ouvrage de Danièle Sallenave, « La splendide promesse ».
Et je termine par une conclusion personnelle, un peu pessimiste.